| Les plages des sixties, Copacabana . | |
|
+9dolaredola zanzibar charles k-nard Silvio mhch Cristobal javadd jabuticaba 13 participants |
|
Auteur | Message |
---|
Cristobal Maître
Nombre de messages : 903 Localisation : La isla bonita Date d'inscription : 26/11/2006
| Sujet: Re: Les plages des sixties, Copacabana . Jeu 26 Aoû - 21:46 | |
| Sympa cette émission. On n'a pas appris grand-chose de nouveau, mais bon...
Un moment de rigolade en revoyant certains looks improbables (Caetano Veloso et Gilberto Gil à la fin des années 60...).
Tout de même, des émotions à la pelle. Par exemple lors de la séquence où Pierre Barouh est avec Maria Bethania et Paulinho da Viola.
Et puis cette impression, à la fois saudade et nostalgie (ceux d'ici connaissent la différence) que tout de même, on aurait bien aimé connaître Rio de Janeiro à l'époque des débuts de la bossa nova. | |
|
| |
jabuticaba Maître
Nombre de messages : 1253 Age : 61 Localisation : loire atlantique Date d'inscription : 10/05/2007
| Sujet: Re: Les plages des sixties, Copacabana . Jeu 26 Aoû - 22:53 | |
| Une bonne émission , on a revu pas mal de documents que l´on connaissait déjà . C´est toujours un plaisir de retrouver Pierre Barouh .
Quelques absents , Nara Leão , c´est chez elle que se retrouvait la turma de la Bossa , Lyra , Menescal , Boscoli ......
Mais dans l´ensemble c´était réussi .
| |
|
| |
zanzibar Maître
Nombre de messages : 876 Age : 68 Localisation : Montreuil sur Gliese Date d'inscription : 29/04/2008
| Sujet: Re: Les plages des sixties, Copacabana . Ven 27 Aoû - 1:17 | |
| Certes aucune émission n'est parfaite, mais pendant environ 50 minutes je trouvais que l'on voyait beaucoup de choses et abordé sous des angles différents. Ca allait du plus léger mais en même temps bien représentatif de la caricature que l'on avait du Brésil à l'époque avec " Si tu va à Rio" jusqu'aux images sur la dictature ( que personnellement je ne connaissais pas comme l'immense majorité des français). Cette longue repression me semblait moins frontale, effectuée avec le moins de traces visibles, sans caméras. Ce que j'ai regretté c'est l'intervention de Bebel Gilberto en anglais. Un aspect que je n'aurais pas pensé voir traiter c'est le côté mode, en fin de compte beaucoup moins superficiel qu'il n'y parait. | |
|
| |
Cristobal Maître
Nombre de messages : 903 Localisation : La isla bonita Date d'inscription : 26/11/2006
| Sujet: Re: Les plages des sixties, Copacabana . Ven 27 Aoû - 1:48 | |
| | |
|
| |
mhch Maître
Nombre de messages : 834 Age : 76 Localisation : Grenoble Date d'inscription : 14/08/2008
| Sujet: Re: Les plages des sixties, Copacabana . Ven 27 Aoû - 8:04 | |
| Enregistrement dispo si ça intéresse.
| |
|
| |
dolaredola Habitué
Nombre de messages : 180 Date d'inscription : 27/09/2007
| Sujet: Re: Les plages des sixties, Copacabana . Sam 28 Aoû - 23:23 | |
| J'veux bien moi por favor JSuis tombé sur la fin seulement ! | |
|
| |
k-nard Habitué
Nombre de messages : 244 Localisation : Toulouse Date d'inscription : 03/12/2009
| Sujet: Re: Les plages des sixties, Copacabana . Sam 28 Aoû - 23:29 | |
| Tient puisque nous sommes à CopacabanaVoici une perle, chantée par Madame Line Renaud, ci joint une photo des paroles, il y aurait pas comme un problème quelque part ? du point de vue géographique ! La chanson: https://www.youtube.com/watch?v=yQPxk_BhcKYCopacabana, le coin le plus chaud de la havane !!! Edifiant que personne n'ai remarqué cette gaffe énorme.....
Dernière édition par k-nard le Dim 29 Aoû - 2:23, édité 1 fois | |
|
| |
mhch Maître
Nombre de messages : 834 Age : 76 Localisation : Grenoble Date d'inscription : 14/08/2008
| Sujet: Re: Les plages des sixties, Copacabana . Sam 28 Aoû - 23:42 | |
| - dolaredola a écrit:
- J'veux bien moi por favor
JSuis tombé sur la fin seulement ! OK, je copie sur un disque. Ensuite La Poste ou bien quand je viens à Paris mi-Septembre. Détails par MP. | |
|
| |
Cristobal Maître
Nombre de messages : 903 Localisation : La isla bonita Date d'inscription : 26/11/2006
| Sujet: Re: Les plages des sixties, Copacabana . Dim 29 Aoû - 1:44 | |
| Ach, nein, c'est plus compliqué que ça. Dans la chanson originale de Barry Manilow, on parle non pas de la plage de Copacabana, mais d'une boîte de nuit appelée le Copacabana et située je ne sais où aux Etats-Unis, mais manifestement plus haut que Miami, la boîte étant "the hottest spot north of Havana". Le comique de service chargé de faire l'adapatation en français n'y a évidemment vu que du feu...
La maison Cristobal ne reculant devant aucun sacrifice, voici les paroles originales:
Copacabana (At the Copa)
-Artist: Barry Manilow as sung on "Greatest Hits" -Arista A2L 8601 -peak Billboard position # 8 in 1978 -Words and Music by Barry Manilow, Bruce Sussman, and J. Feldman
<<Her name was Lola, she was a showgirl With yellow feathers in her hair and a dress cut down to there She would merengue and do the cha-cha And while she tried to be a star, Tony always tended bar Across a crowded floor, they worked from 8 till 4 They were young and they had each other Who could ask for more?
At the Copa (CO!), Copacabana (Copacabana) The hottest spot north of Havana (here) At the Copa (CO!), Copacabana Music and passion were always the fashion At the Copa....they fell in love (Copa Copacabana)
His name was Rico, he wore a diamond He was escorted to his chair, he saw Lola dancin' there And when she finished, he called her over But Rico went a bit too far, Tony sailed across the bar And then the punches flew and chairs were smashed in two There was blood and a single gun shot But just who shot who?
At the Copa (CO!), Copacabana (Copacabana) The hottest spot north of Havana (here) At the Copa (CO!), Copacabana Music and passion were always the fashion At the Copa....she lost her love (Copa. . Copacabana) (Copa Copacabana) (Copacabana, ahh ahh ahh ahh) (Ahh ahh ahh ahh Copa Copacabana) (Talking Havana have a banana) (Music and passion...always the fash--shun)
Her name is Lola, she was a showgirl But that was 30 years ago, when they used to have a show Now it's a disco, but not for Lola Still in the dress she used to wear, faded feathers in her hair She sits there so refined, and drinks herself half-blind She lost her youth and she lost her Tony Now she's lost her mind!
At the Copa (CO!), Copacabana (Copacabana) The hottest spot north of Havana (here) At the Copa (CO!), Copacabana Music and passion were always the fashion At the Copa....don't fall in love (Copa) don't fall in love Copacabana Copacabana<<
| |
|
| |
Zaraké Modérateur
Nombre de messages : 4239 Age : 72 Localisation : Toulouse (région) Date d'inscription : 06/11/2006
| Sujet: Re: Les plages des sixties, Copacabana . Dim 29 Aoû - 14:15 | |
| Bien vu Cristo! | |
|
| |
dolaredola Habitué
Nombre de messages : 180 Date d'inscription : 27/09/2007
| Sujet: Re: Les plages des sixties, Copacabana . Lun 30 Aoû - 0:31 | |
| - mhch a écrit:
- dolaredola a écrit:
- J'veux bien moi por favor
JSuis tombé sur la fin seulement ! OK, je copie sur un disque. Ensuite La Poste ou bien quand je viens à Paris mi-Septembre. Détails par MP. Ah bah te prends pas la tête alors....Je pensais que tu avais un lien... Je ne vais pas faire mon fainéant, je vais chercher ça sur le net Merci bcp en tous cas ! | |
|
| |
zanzibar Maître
Nombre de messages : 876 Age : 68 Localisation : Montreuil sur Gliese Date d'inscription : 29/04/2008
| Sujet: Re: Les plages des sixties, Copacabana . Lun 30 Aoû - 1:22 | |
| Avec une certaine connaissance, je ne peux parler que de Sao Paulo et Sao Vicente. Pour les autres lieux où je me suis rendu, c'était pour faire du tourisme. Il ne m'est jamais rien arrivé, mais c'est vrai que pour mes amis brésiliens, je passais un peu pour un original à me promener tout le temps à pied . J'ai personnellement couru un risque réel à Sao Vicente ou je faisais du vélo ( modèle brésilien premier prix acheté au Carrefour local) sur la piste cyclable du bord de mer et quelques photos quand un lieu me plaisait. Un groupe de 3 jeunes m'a abordé et a voulu que je me rende dans une rue adjacente pour les prendre en photo. Ceci de façon assez insistante. Par chance mon ami qui était un peu plus loin a pu me sortir de cette difficulté. Ensuite il a discutté avec un certain nombre de personnes du quartier qui lui ont confirmé que la sécurité avait pas mal diminué dans le coin avec des vols, alors que franchement ça parait parfaitement tranquille avec une ambiance très familiale.
A suivre | |
|
| |
zanzibar Maître
Nombre de messages : 876 Age : 68 Localisation : Montreuil sur Gliese Date d'inscription : 29/04/2008
| Sujet: Re: Les plages des sixties, Copacabana . Lun 30 Aoû - 17:22 | |
| Donc pour la sécurité vu par des brésiliens. Ce besoin d'en parler est venu presque à un moment ou à un autre dans des conversations entendues que l'on m'a traduite. Mes interlocuteurs, entre 20 et 80 ans avec une majorité de 40 ans. Leur milieu socio professionnel : agents de maitrise, employés qualifiés, et un grand nombre de médecins puisque mon ami exerce cette profession. Si les brésiliens qui voyagent ont une chose qu'ils nous envient à nous européens ou américains du nord c'est ce point. Sûrement pas la nourriture, pour ça beaucoup seraient prêts à reprendre le premier avion . D'ailleurs je comprends tout à fait leur préoccupation et m'étonne souvent de leur tranquilité souriante apparente. Je crois qu'il faut avoir vu un journal télévisé local pour s'en rendre compte. Les faits divers, avec meutres en série sont le fonds de commerce de ceux-ci. Et le tout avec un professionalisme remarquable dans la présentation. Les reconstitutions sont au top et on ne se prive pas de les faire tourner en boucle. Ici à Porto, nous sommes abonnés à Record et il facile de faire un comparatif entre la vision apportée par chacun des pays de sa propre actualité. D'ailleurs quand on regarde les feuilletons, c'est difficile de croire que ça se passe dans le même pays. Ceci a t'il une influence dans la façon de vivre des brésiliens, je dirais pour la classe moyenne de Sao Paulo. Oui, sur au moins deux points à mon avis. L'habitation et la façon de faire les courses. Les "condominios" que j'appelerais des copropriétés sécurisées sont le "rêve" de la majorité des paulistanos. On ne rentre pas sans que la sécurité ait prévenu la personne chez qui vous dites aller et qu'elle ait donné son accord. Mon ami avait donc inscrit mon nom sur un registre pour que je puisse rentrer sans problèmes. J'ai su que j'étais connu quand la porte en fer s'ouvrait au même moment que je me présentais devant elle. Donc pour assurer cette tranquilité 24 heures sur 24 ceci représente 8 employés ( pour 64 logements) car il faut prévoir aussi l'entrée des garages. En conséquence, le jour où les employés recevront des salaires équivalents aux notres, je vous laisse imaginer la difficulté pour payer les charges. Comme ces lieux permettent de se sentir en totale tranquilité, la tendance est toujours d'accroitre les services offerts. Donc on y trouve de plus en plus dans les nouvelles réalisations, une piscine collective, un café, des salles de réception, de sport. Un petit club Med en fait. Et tous les habitants ne sont pas des milliardaires. On peut acheter petit mais avec la qualité des prestations. L'organisation est aussi différente. Le syndic est un copropriétaire qui est la femme ou l'homme orchestre du petit village vertical et il prend son rôle très au sérieux. En contrepartie il ne paye de charges. Son élection peut donner lieu à des épisodes dignes des meilleurs feuilletons dans certains cas. En conséquence la petite maison urbaine si elle n'est pas elle même dans une rue privée gardée, ne fait pas franchement rêver. C'est pour ceci que de magnifiques maisons ont pu être démolies sans émouvoir personne. Donc si on continue à ce rythme New York finira par être une pâle copie de Sao Paulo. Reste toutefois des centaines de milliers de maisons individuelles. J'ai compris pourquoi on pouvait faire beaucoup d'argent dans la pose de grilles et d'alarmes. Je ne veux pas faire dans le cliché mais la cage est bien représentative de nombreuses. Deuxième point. Comme chaque pays en plein essort, on a envie de faire des courses. On pourrait penser que le centre ville devrait être le lieu le plus attractif. Ici pas vraiment. Non pas qu'il n'existe pas mais il est réservé plutôt à une clientèle aux revenus inférieurs à la moyenne et il a un air un petit peu vieillot parfois. Donc ce sont développés d'immenses centres commerciaux, pas tellement comme chez nous où nous trouvons de grands parkings autour, mais ici de façon verticale alors que la place pouvait le permettre. Et dans certains cas on les a construit loin des transports en commun pour éviter une clientèle non désirée. Donc le point faible reste le transport des personnes. La climatisation a permis de fermer les fenêtres pour éviter certaines tentations. En même temps dans les quartiers dits "tranquilles" il y a une vraie vie nocturne, mais pour beaucoup de gens, on vient avec sa voiture, on la met à proximité dans un des parkings surveillés. Mais en considérant que le niveau de vie réel entre un brésilien et un français est de 1 à 3 ce style de vie n'est pas permis à la majorité. Ces craintes du danger sont-elles fantasmées ou non ? Si je m'en tiens à ce qui m'est arrivé . Oui. Si je tiens compte de ce qui est arrivé aux personnes que je connais . Non. Mon ami s'est retrouvé une fois où il avait oublié de fermer la fenêtre de sa voiture avec un pistolet sur la tempe. Même si c'est quelqu'un de très solide moralement, son sens de la sécurité s'est quand même modifié. Au Brésil il prévoyait les risques éventuels en se promenant. Ici au Portugal, nous nous balladons très tranquillement. Il a une collègue ( une de ses meilleures amies) qui a connu aussi un vol dans sa voiture par bris de fenêtre en roulant. Elle s'est sécurisée en achetant un 4X4 ou sa position de conduite est plus haute. D'autres de ses collègues se sont faits attaquer dans un centre de santé. Il me semble donc impossible de dire que le Brésil et la France c'est par exemple la même chose. Par contre on ne risque pas sa vie à chaque coin de rue, mais on se pose plus de questions que par ici. Et je peux le dire car en France j'habite le 93, ce département repoussoir pour beaucoup ( mais moi je m'y trouve bien). Que le Brésil ne soit pas une destination touristique très courue, je le comprends. Je ne sais pas si la sécurité en est la cause majeure. Tout d'abord, c'est une destination chère pour la classe moyenne. Ce n'est pas la république dominicaine. La clientèle locale est importante et 10% de brésiliens qui ont les moyens ça fait du monde. De plus faut-il développer à tout prix cette industrie, pour détruire des lieux tranquilles ? Je ne sais pas. | |
|
| |
Zaraké Modérateur
Nombre de messages : 4239 Age : 72 Localisation : Toulouse (région) Date d'inscription : 06/11/2006
| Sujet: Re: Les plages des sixties, Copacabana . Lun 30 Aoû - 20:38 | |
| Ton post est non seulement intéressant, mais il est out à fait dans l'actualité française, ou l'on sur-réagit à une insécurité largement fantasmée à coté de celle du Brésil ou pire de l'Afrique du Sud ou de la Colombie. | |
|
| |
javadd Grand maître
Nombre de messages : 2840 Localisation : Paris Date d'inscription : 20/04/2007
| Sujet: Re: Les plages des sixties, Copacabana . Mar 31 Aoû - 12:05 | |
| Merci pour ce point de vue éclairant et très nuancé Zanzibar ! D'ailleurs, en général tes interventions sont très intéressantes et richement développées alors je renouvelle mes remerciements surtout dans ce contexte de quasi paralysie du clavier qui affecte la plupart des membres du forum... - zanzibar a écrit:
- Il me semble donc impossible de dire que le Brésil et la France c'est par exemple la même chose. Par contre on ne risque pas sa vie à chaque coin de rue, mais on se pose plus de questions que par ici. Et je peux le dire car en France j'habite le 93, ce département repoussoir pour beaucoup ( mais moi je m'y trouve bien).
Effectivement, cela n'a rien à voir et heureusement d'ailleurs car le système social français (enfin, ce qu'il en en reste) a une vocation solidaire et pacifiante. Si le niveau d'insécurité était aussi important en France cela serait à désespérer de tout... Pour en revenir au Brésil, je crois aussi que selon les endroits, les moments et les gens les situations sont très différentes non ? Les grandes villes engendrent obligatoirement un taux de violence plus important, ne serait ce que statistiquement c'est logique. Les Brésiliens que je connais ont tendance à nier la violence ou à trouver que la réputation que l'on fait au Brésil est très exagérée. Je suis bien incapable de dire s'il s'agit d'une réaction de fierté nationale : ne pas supporter que l'on dispense du Brésil l'image d'un pays chaotique et violent ou s'ils ont un regard plus clairvoyant et une attitude plus maîtrisée car ils connaissent les lieux. Não sei.... | |
|
| |
MBlou Modérateur
Nombre de messages : 1487 Age : 69 Localisation : Quebec - Canada Date d'inscription : 26/07/2007
| Sujet: Re: Les plages des sixties, Copacabana . Mar 31 Aoû - 12:32 | |
| Merci Zanzibar d'avoir pris le temps d'écrire ce long texte qui explique bien ce que certaines personnes vivent au Brésil
| |
|
| |
Paul Ridgley Elliott Novice
Nombre de messages : 8 Date d'inscription : 31/08/2010
| Sujet: Re: Les plages des sixties, Copacabana . Mar 31 Aoû - 16:30 | |
|
Dernière édition par Paul Ridgley Elliott le Mer 1 Sep - 22:37, édité 1 fois | |
|
| |
javadd Grand maître
Nombre de messages : 2840 Localisation : Paris Date d'inscription : 20/04/2007
| |
| |
Silvio Grand maître
Nombre de messages : 6562 Age : 64 Localisation : Mexico - Mexique Date d'inscription : 21/09/2008
| Sujet: Re: Les plages des sixties, Copacabana . Mar 31 Aoû - 22:14 | |
| | |
|
| |
Paul Ridgley Elliott Novice
Nombre de messages : 8 Date d'inscription : 31/08/2010
| Sujet: Re: Les plages des sixties, Copacabana . Mer 1 Sep - 22:37 | |
| Emission visible jusqu'à jeudi 2 septempbre 19h51 | |
|
| |
mhch Maître
Nombre de messages : 834 Age : 76 Localisation : Grenoble Date d'inscription : 14/08/2008
| Sujet: Re: Les plages des sixties, Copacabana . Jeu 2 Sep - 8:18 | |
| | |
|
| |
Silvio Grand maître
Nombre de messages : 6562 Age : 64 Localisation : Mexico - Mexique Date d'inscription : 21/09/2008
| Sujet: Re: Les plages des sixties, Copacabana . Jeu 2 Sep - 22:01 | |
| - mhch a écrit:
Rio ah Rio Oba! C'est chouette! Na praia as sereias tentadoras No morro Deus em Cristo Redentor vigiando! A la plage les sirènes tentatrices Sur la colline Dieu en Christ Rédempteur qui surveille! Foto Silvio - Praia de Copacabana - julho de 2009 A Sereia e o Cristo na praia La Sirène et le Christ à la plage! | |
|
| |
mhch Maître
Nombre de messages : 834 Age : 76 Localisation : Grenoble Date d'inscription : 14/08/2008
| |
| |
Silvio Grand maître
Nombre de messages : 6562 Age : 64 Localisation : Mexico - Mexique Date d'inscription : 21/09/2008
| Sujet: Re: Les plages des sixties, Copacabana . Jeu 2 Sep - 22:55 | |
| - mhch a écrit:
Oui Rio est une sirène qui attire par des chansons, sous le regard consterné du Christ Redempteur Je dirais plutôt "sous le regard conciliant". Depuis qu'il est là-haut à Rio de Janeiro - sur son perchoir - il en a vu d'autres et fait partie du paysage! Foto Silvio - Cristo Redentor - julho de 2009 | |
|
| |
mhch Maître
Nombre de messages : 834 Age : 76 Localisation : Grenoble Date d'inscription : 14/08/2008
| Sujet: Re: Les plages des sixties, Copacabana . Jeu 2 Sep - 23:00 | |
| C'est vrai qu'au Brésil, le Christ, les anges, les saints, et les autres sont mis à toutes les sauces Le puritanisme est une invention Suisse !!! Marie-Madeleine était une sirène elle aussi, et les ragots nous laissent entendre que Jésus était son époux | |
|
| |
Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Les plages des sixties, Copacabana . | |
| |
|
| |
| Les plages des sixties, Copacabana . | |
|